lundi 8 novembre 2021

Jour 7 - La laisse et la chienne


 Cher journal,

J'avoue que je ne connaissais pas toutes les pratiques de Monsieur et Madame mais je dois avouer que j'adore leurs jeux et la manière dont ils s'occupent de moi. Je sens que lorsque je vais reprendre une vie normale, je prendrais plaisir à répéter certaines pratiques.

Mais laisse moi te raconter cette nouvelle journée. Je me lève et me prépare comme à mon habitude. Je prends mon déjeuner et n'hésite pas à regarder les jardiniers. Il y en a vraiment 2 qui m'attirent. Le Julien, mystérieux, orphelin, timide et réservé et le beau Sébastien, séducteur dans l'âme qui, je sais, meurs d'envie de m'avoir pour lui.

Nous nous retrouvons tous face à Madame Michelle :

"Vous avez tous fait un excellent travail hier. J'ai même eu droit aux félicitations de Monsieur et Madame. De ce fait, comme nous sommes en avance sur le planning de la semaine, si vous continuez ainsi, vous aurez tous droit à votre vendredi qui vous sera payé."

Une exclamation de joie se fait entendre. J'avoue que gagner un jour est toujours plaisant mais m'embête car je voulais rester au château ce week-end.

Madame Michelle distribue les tâches avant que chacun ne parte aux quatre coin du domaine. Avec Anna, nous devons juste changer les draps des domestiques et se charger de nettoyer le coin des domestiques.

Comme elle me le dit, si nous nous débrouillons bien, en début d'après midi, nous aurons fini. Alors je m'attelle du mieux que je peux et parlons très peu avec elle. Je sais qu'elle apprécie son temps libre. Elle économise de l'argent pour monter sa boutique et a commencé des démarches. Mais cela lui demande beaucoup de temps et des rendez-vous avez des banques, des fournisseurs, des propriétaires pour trouver le bon local.

Alors, hors de question que je lui en fasse perdre. Comme nous nous consacrons à nos tâches du plus vite possible, nous parlons peu. C'est même essoufflées et rouges que nous arrivons au déjeuner. Je crois que je ne t'ai jamais dit à quel point les repas étaient copieux. Et pourtant, malgré tout ce que je mange, j'ai perdu deux kilogrammes. Apparemment, dans les cuisinières, il y aurait une nutritionniste qui veille à ce que cela soit équilibré.

Vu ma silhouette et vu ce que je dépense, tant que je mange, que c'est bon, peu importe ce qu'il y a dans mon assiette. Il faut dire qu'elles font un bon travail.

Comme Anna, tout le monde se dépêche de reprendre les tâches. Madame Michelle m'explique qu'au vu du lundi passé, si nous nous débrouillons bien, nous pourrons non seulement finir tôt tous les après midis mais en plus, nous aurons droit à notre vendredi.

Elle m'explique également que dès que j'ai fini, je devrais porter des vêtements civils et rejoindre Monsieur dans son bureau.

Depuis mon arrivée, pas un seul ne s'est passé sans que j'ai du sexe avec lui ou sa femme. Je me disais bien que ce jour ne serait pas l'exception.

Avec Anna, nous nous chargeons de faire la poussière, de passer un coup d'aspirateur et d'aérer les espaces communs aux domestiques. Mais j'avoue que nous terminons bien vite.

Elle m'invite à rentrer avec elle pour passer l'après midi ensemble. A mon air gêné, elle comprend que je suis déjà prise alors nous convenons que je lui enverrais un texto dès que je suis libre pour aller boire un verre.

Je me dépêche de retourner dans ma chambre. je prends une douche et enfile une robe à boutons. Bien sûr, je suis nue dessous.

Je descends et frappe à la porte du bureau. Rien, aucun bruit. Je me demande si j'ai bien compris les instructions de Madame Michelle. J'allais retoquer quand Monsieur ouvre la porte:

"Allons nous promener."

Il ferme la porte et se dirige vers la porte d'entrée. Je le suis éberluée et me demande ce qu'il a derrière la tête. Nous prenons un sentier qui contourne la demeure sous les yeux des jardiniers et des domestiques ayant fini leur journée de travail. Pour l'instant, Maître est silencieux et je n'ose prononcer la moindre parole.

Il nous enfonce alors dans le parc; dès qu'il juge que nous nous sommes suffisemment éloignés, Maître me regarde et me dit  :

"Seriez-vous capable de vous mettre nue et de vous balader ainsi ?

Je suis assez surprise. Déjà, car il me donne des ordres sans me donner avis d'habitude mais en plus de cela, sa requête est plutôt surprenante. Je ne suis pas pudique mais regarde autour de nous.

- Je vous l'avoue, j'ai des amis voyeurs qui sont présents. Ils sont cachés et ne nous les verrons pas. Mais je comprendrais si vous refusiez. Nous retournerons simplement dans la maison.

Des voyeurs ? Oh la la. Bien sûr que je m'étais déjà amusée en extérieur mais j'avais pris mes précautions pour ne pas être vue. Je regarde autour de moi et ne voit personne. Je me demande s'il ne me ment pas. Je finis par me dire que ce jeu pouvait être excitant. Je déboutonne ma robe et la lui tend.

- Je vous remercie. Vous avez un corps magnifique. Comment ne pas vous désirer. J'ai toutefois, une autre demande. Vous êtes également libre de refuser. Accepteriez-vous de mettre ce collier et que je vous promène en laisse ? Ce serait un réel plaisir pour moi.

Il les sort de sa poche et les regarde. Si je m'attendais à cela. Je serais promenée nue telle une chienne avec son maître; Après tout, ne le suis-je pas.

- J'accepte Monsieur."

Il me met le collier en me regardant dans les yeux. j'avoue que cela m'excite. Il prend la laisse mais avant de me promener ainsi, il met un doigt dans ma chatte.

- J'adore votre excitation. Allons vous promener."

Il me laisse aller devant. De temps en temps, la laisse est longue mais par moment, il tire dessus pour la raccourcir voire pour qu'il se colle à moi. Dans ces moments-là, il frotte son sexe dur contre mes fesses. Avant de me pousser légèrement et me faire comprendre que j'avance. Comme il fait bon, je n'ai pas froid et nous discutons tous deux de choses et d'autres comme si une femme nue et laissée était une chose normale.

Seulement voilà, une envie pressante se manifeste. J'ignore si nous sommes loin du château et combien de temps cette promenade va durer. Au début, je ne dis rien mais je ne tiens plus.

"Maître, je vois vous avouer que j'ai une envie pressante.

- C'est ce que je voulais. J'ai un fantasme mais cela ne peut se faire que si vous êtres d'accord. Je veux que vous vous mettiez à quatre pattes et que vous pissiez comme la chienne que vous êtes.

Je reste éberluée par cette demande.

- Ecoutez, je vois l'incompréhension sur votre visage. Si vous le faites, je calmerais votre excitation. Si vous refusez, vous pouvez vous isoler mais vous resterez frustré.

Un chantage sexuel, maintenant ? Et puis, après tout, je suis là pour découvrir mes limites, des pratiques. Pisser comme un animal devant son maître, cela ne doit pas être si terrible.

Je me mets à quatre pattes, écarte les cuisses :

- Chienne, attend quelques secondes.

Il se met devant moi et s'accroupit. Je le regarde dans les yeux mais quand je commence à me libérer, je me sens gênée d'être aussi humiliée. Je regarde en bas. J'entends Monsieur qui exprime son plaisir de me voir ainsi. J'avoue que cela ne fait qu'accroître l'excitation déjà présente.

Une fois fini, j'allais me relever mais :

- Non chienne. Avance à quatre pattes.

Il tire sur la laisse et je me laisse guider par cette laisse. Avancer à quatre pattes n'est pas des plus aisés. j'avance doucement et prudemment mais les brindilles sous les mains et sous les genoux ne font pas du bien. Mais je comprends que ce n'est que pour quelques mètres.

J'entends des bruits de vêtement. Et c'est une queue qui me pénètre violemment, sauvagement. je gémis de plaisir immédiatement. Monsieur tire sur la laisse, m'obligeant à relever la tête.

J'imagine le tableau, moi, animalisée en une chienne, lui me prenant en levrette. je sens ses couilles me frapper à chaque mouvement. Mais j'avoue que j'adore. Mon excitation grimpe mais malheureusement, une frustration me gagne.

Monsieur se libère, vient devant moi et me dit :

- Je m'excuse mais vous voir ainsi en une véritable chienne m'a surexcité. Mais si vous le souhaitez, un voyeur peut venir vous satisfaire ?

Un inconnu m'a vu être animalisée et viendrait me combler ? J'avoue que cela me dérange mais dans le même temps, mon bas rein est chaud, il réclame son dû et quelque chose me fait dire que compenser seule ne serait pas d'une grande aide.

J'accepte.

Monsieur fait un signe, se rhabille, se met sur le côté et tiens la laisse fermement. j'entends des bruits de brindilles écrasés. Des vêtements qui se défont. Des mains qui caressent mon dos et mes fesses tendrement. Une fessée tombe. je gémis de plaisir :

- Elle adore les fessées. vas-y mets en lui quatre.

Les trois autres tombent sur chacune de mes fesses avant qu'un sexe plus gros, plus dur que celui de Monsieur ne me pénètre aussi sauvagement. je hurle de plaisir instantanément. les va-et-vient sont rapides, je n'arrive plus à suivre, je suis essoufflée, mon bas rein remue en suivant le rythme. je perds la tête. Mais au moment où mon orgasme allait poindre, tout s'arrête.

Déçue, j'émets un gémissement de plainte. Je reste ainsi car entre la laisse et la queue dans ma chatte, je ne peux guère bouger. cette laisse qui me tient fermement et me rappelle mon humiliation.

Pourtant, j'allais avancer quand le voyeur reprend de plus belle. Waouh. Une jouissance intense m'envahit, c'est puissant, je n'arrive pas à la contrôler, c'est presque insupportable. Le voyeur encouragé par Monsieur continue quelques secondes avant que je sente le sperme coulé en moi. Mon orgasme, un des plus puissants jamais connu s'est exprimé.

Le voyeur se retire. j'entends de nouveau des bruits de vêtement mais qui s'éloignent. Maître me dit :

- Relevez-vous.

Il me tend la main et je me relève mais j'avoue que j'ai du mal à trouver mon équilibre. Heureusement, Maître me tient et je remarque le plaisir dans ses yeux :

- Vous avez dépasser mes espérances. Je vous libère du collier et vous pouvez vous rhabiller."

Je le laisse faire et même le laisse reboutonner ma robe ce qui lui permet de me caresser. Nous retournons vers la demeure et il me pose des questions sur ce qu'il vient de se passer. Est-ce que cela m'a plu ? Qu'est ce que j'ai ressenti ? Est-ce que je voudrais recommencer ?

J'avoue que cette expérience ne m'a pas déplu mais j'imagine très bien le faire avec un homme sauf que cette fois, c'est moi qui tiendrais la laisse. Lorsque nous arrivons près du sentier, Maître me dit :

"Je vous laisse rentrer. je voudrais encore savourer le moment que vous avez bien voulu me donner."

Je le rejoins et approchant du derrière la demeure, je vois le fameux Sébastien. J'avoue qu'à sa vue, mon bas rein se réveille. Je ne comprends pas mon corps. Il vient de subir une torture sexuelle intense et il en redemande. Je me dirige vers lui. Arrivé à sa proximité :

" Tu as fini tes tâches ?

- Yep.

- Viens dans ma chambre tout de suite. Pas de préliminaire, pas de baiser, tu me pénètres, tu joues avec le rythme, tu joues avec mes seins et tu repars comme un voleur. Cela te va ?

- Oh que oui.

- Alors laisse moi prendre de l'avance. Ma porte sera ouverte."

Je m'éloigne et me dépêche d'aller dans ma chambre. je me déshabille, je m'allonge sur le dos, les jambes écartées. Prête à attendre le sexe qui devrait me défoncer la chatte.

La porte s'ouvre. Sébastien entre et me regarde. Il me savoure des yeux tandis qu'il se déshabille. Il s'allonge sur moi, prend en bouche l'un de mes tétons et tord le second avec ses doigts. oh que j'adore cela. Je gémis, je bouge et je réclame son sexe en moi.

Il comprend le message et me pénètre violemment. Décidément, ils sont tous sauvages dans cette maison. Peu importe, il y va doucement mais ma chatte veut un rythme plus rapide alors je me remue pour exiger plus mais cela ne me convient pas.

Je le fais basculer, je grimpe sur lui, je décide du rythme tandis que lui torture mes seins. Je mets ma main autour de sa gorge et rien que cette vision, j'entends son excitation qui ne fait qu'accroître la mienne. Le voir ainsi, humilié et traité comme j'ai pu l'être, waouh, c'est génial.

Sébastien remue son bassin en suivant le rythme que j'impose. je me frotte à ce sexe car je sais que c'est ainsi qu'à coup sûr j'ai un orgasme. Sébastien éjacule quelques secondes après moi. Je descends et lui ordonne :

"Va-t-en."

A croire que cela lui convient. Il se lève, se rhabille rapidement et me laisse.

Je repense à tout cela et me demande si cela n'est pas un rêve. me demande si ce n'est pas mon imagination...

Je crois que si je ne t'écrivais pas chaque jour, je ne réaliserais pas ce que je vis. Je suis partie prendre une douche et suis partie au village, rejoindre Anna. Nous avons été rejointes par d'autres collègues et j'avoue que leur gaieté, leur entente est fort sympathique. Aucun d'entre eux ne m'interroge ma condition et j'avoue que j'apprécie. D'autant que Sébastien était présent et c'est à peine s'il me regardait. Je me suis demandé s'il avait pris autant de plaisir que moi ou si une fois le trophée obtenu, il passait à un autre.

Certains collègues dorment au domaine comme moi. Etant venus en voiture, ils me ramènent et nous dînons. Je suis restée avec eux à zapper les chaînes de la télévision en critiquant la nullité des programmes.

Je suis montée dans ma chambre. Je me préparais à t'écrire quand on toque à la porte. 

"Entrez

Madame entre et se tient debout. Je me lève et vient à elle :

- Je peux faire quelque chose pour vous ?

- Vous avez été une véritable chienne cette après midi. Vous avez en plus, laissez un de ses amis vous prendre.

Son ton est froid et j'ignore quoi répondre. Je me demande si elle désapprouve.

- A partir de maintenant, quand on vous dira au pied, vous devrez être nue, à genoux, à nos pieds. 

Je reste éberluée. Autant Monsieur était de la suggestion. Là, c'étaient des ordres. Elle m'observe et me dit :

- Cela vous convient ?

- Oui Maîtresse.

- Alors au pied, chienne.

Je suis un peu étonnée. Mais bon, ce sont les règles du jeu. Je me déshabille. Je m'approche d'elle et me met à genoux devant elle. 

- Les yeux à terre, chienne.

Je baisse les yeux. Elle écarte les jambes et se met au dessous de moi.

- Mange, chienne.

Je lève la tête et voit son intimité juste au dessus de moi. Je change quelque peu de position. J'insère ma langue en elle, j'y insère un doigt pour l'humidifier. J'entends ses gémissements. Je m'adapte à elle, à ses mouvements. sans que je m'y attende, elle se retire.

- Bonne chienne. Bonne nuit."

Elle repart comme elle était venue et me laisse interloquée, nue, à genoux. Ainsi, était mon nouveau statut. Je savais que cela pouvait arriver mais du fait que cela devienne réalité, je me demande si je suis capable d'accepter. Dans le même temps, cela m'apportait tellement de plaisirs...

Apparemment, l'humiliation, l'avilissement accroît mon plaisir. Même si cela me perturbe, je ne peux l'ignorer. J'ai accepté en signant mes contrats ces conditions.

Et je venais de donner mon approbation à Maîtresse. Ce qui me rassure, c'est que je peux arrêter à tout moment. Si cela va trop loin, je peux dire stop. Mais en ai-je vraiment envie ? Mon bas rein répond en disant non. Mais ma tête...

Je te dis bonne nuit cher journal, comme on dit la nuit porte conseil.


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1 commentaire:

  1. Très beau récit de votre moment, de votre évolution qui semble vous plaire. C'est parfait. Je pense comprendre votre ressenti car ma "femme" , tout comme vous est ma Chienne. Au plaisir de vous lire encore . Cordialement

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