vendredi 1 octobre 2021

Jour 3 - Désobéissance et plaisir avec Monsieur et Madame


 



Cher journal,

J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir cette nuit. Alors je me suis mise à lire les deux contrats. Le premier est somme toute classique et ressemble beaucoup à ceux que j’ai déjà signé. Aucun problème pour moi.

Quant au second, le titre m’intrigue « Contrat BDSM ». Et comme une imbécile, j’ai oublié d’emmener mon ordinateur portable. Heureusement que nos téléphones nous permettent de faire des recherches.

Je découvre qu’il s’agit d’un contrat entre une soumise et son maître. J’ignorais que je devenais une soumise. Il faut dire qu’ils m’ont bien fait comprendre que je devais obéir à tous leurs envies, désirs et ordres. Et j’avoue que jusqu’à présent, cela me plaît.

Je me mets alors à lire ce contrat qui, je l’avoue me surprend. Te le détailler serait fastidieux. Tout ce que tu dois savoir c’est que je consens à toutes pratiques sexuelles sous réserve de mon consentement. Si je refuse, aucune conséquence si ce n’est que Monsieur et Madame s’interrompent. Il existe effectivement un mot de sécurité que je dois choisir et qui met un terme final à la séance. Je choisis « Tartempion. »

Il existe également une liste de pratiques auxquelles je dois dire oui ou non. J’avoue que pour certains mots, une recherche est nécessaire. J’avoue que j’ai mis oui à la majorité. J’ai refusé les baffes, les crachats et l’uro.

Je finis de signer et pars sous la douche pour me préparer. Mais voilà, il est encore tôt et je m’ennuie. Je prends les contrats, mon uniforme de la veille et descends. Je dois avouer que la demeure sans le remue-ménage des domestiques est quelque peu glauque.

Je dépose mon uniforme dans la buanderie et me dirige vers le bureau de Monsieur. Il est vrai que j’ignore ses habitudes mais je me dis qu’il doit sûrement dormir.

J’ouvre la porte. Ouf, personne. Je n’aurais pas aimé être surprise. Je m’approche du bureau et dépose les contrats bien en évidence jusqu’à ce que mon regard soit attiré par un document où mon nom figure. Je suis bien trop curieuse. Alors, je m’approche et plus près :

« Mais que faites-vous ?

Je sursaute et me retourne.

- Je venais juste vous déposer les contrats signés. Je ne voulais pas vous déranger Monsieur.

- En êtes-vous sûre ?

J’avoue que sa question me laisse perplexe, aurait-il quelque chose à cacher ?

Toutefois, hors de question de baisser les yeux, il saurait que je ne dis pas toute la vérité. Il ferme la porte et s’approche de moi.

Je dois dire quelque chose, vite…

- Ce bureau a l'air d'être fait dans un bois si joli. J’ai juste voulu le toucher Monsieur.

Mais qu’est-ce que je raconte moi ? Suis-je crédible au moins ?

Il me jauge. Allez, croyez-moi Monsieur, je vous en prie. Je veux rester encore. Ce n’est que mon deuxième jour.

- Avez-vous signé les deux contrats ?

- Oui Monsieur.

- Avez-vous compris tout ce qui y était compris ? Surtout pour le contrat BDSM ?

- A vrai dire, certaines pratiques m’étaient inconnues et j’ai dû faire des recherches pour les découvrir.

- Avez-vous un exemple en tête ?

Il est vraiment très près de moi et je sens son désir pour moi. Je n’ose baisser les yeux pour voir s’il bande.

- Le bondage Monsieur.

- Avez-vous coché Oui pour cette pratique.

- Oui Monsieur.

J’avais bien compris qu’il s’agissait de ligoter son partenaire. Oh la la, comment je peux avoir envie de sexe dès le matin. Sûrement la faute à Monsieur.

- Ne bougez pas.

Il se met à côté de moi, je sens son odeur. Hmm, elle est envoûtante.

Il écarte tout ce qu’il y a sur le bureau et se remet devant moi. Il glisse ses mains derrière mon dos et dégrafe mon uniforme tandis qu’il m’embrasse à pleine bouche.

Je me rends compte que c’est mon premier baiser avec lui. Mais quel baiser ? Fougueux, sauvage, désir, envie. Oh oui qu’il me prenne. Oh qu’il me donne des ordres. Du moment qu’il abuse de moi, de mon corps, qu’il me fasse hurler de plaisir.

Mon uniforme glisse à terre. Il me soulève et me fait asseoir sur le bureau.

Il s’arrête de m’embrasser et m’ordonne :

- Mains derrière le dos ! Ne bougez pas. Vous avez bien lu que si vous êtes désobéissante, vous serez puni ?

- Oui Monsieur.

- Non Maître.

- Oui Maître.

Il s’éloigne et je le vois enlever sa ceinture. Je me rends compte de l’image que nous devions renvoyer. Moi nue, assise sur le bureau. Monsieur habillé proche de moi. Bizarrement, je comprends mieux pourquoi il me considère comme une soumise.

- Le Bondage consiste à vous attacher et à abuser de vous comme bon me semble. Je préfère des menottes ou des cordes mais vous m’avez pris par surprise. Vous êtes une vilaine.

Je ne sais quoi répondre. Il entoure sa ceinture autour de mes poignets et serre très fort. Je me rends compte que si je le voulais, je pourrais me détacher mais où serait le plaisir ? D’autant que perdant mon sens le plus important, je me sens à la totale merci de cet homme.

Ma chatte en est toute humide et je n’ai qu’une hâte, qu’il m’allonge et me prenne. Mais Monsieur, pardon Maître, veut jouer avec moi.

Il s’empare de mes seins et me regarde. Je sais qu’il m’analyse et je vois un sourire malicieux poindre.

- Vous aimez cette situation. Mais je préfère vérifier.

Il libère un de mes seins, mets un doigt dans ma chatte et le mets dans sa bouche.

- J’adore votre goût. »

Il caresse de nouveau mes seins, titille mes tétons. Je crie de surprise. Oh la la, on ne m’avait jamais fait cela avant. Oui, je ressens une petite douleur mais rien de comparable au plaisir qu’il s’ensuit. Il entreprend alors de prendre un de mes tétons en bouches et le mord fortement.

- Hmmm

Il s’interrompt juste pour me dire :

- Vos seins sont savoureux. J’adore. Mais attention, si vous bougez, je vous punis comme le stipule le contrat.

Il s'empare alors du deuxième avec sa bouche. Je fais mon possible pour rester immobile mais j’ai tellement envie qu’il me prenne là maintenant, sauvagement…

- Vous allez apprendre à m'obéir. Je vais vous libérer mais vous allez vous mettre à quatre pattes par terre.

Il met les mains dans mon dos et me libère. Il s’écarte. Je suis prête à tout pour qu’il me prenne. Je déteste la frustration et hors de question qu’il me laisse languir ainsi.

Je descends, fais quelques pas et me mets à quatre pattes. Oh oui, une bonne levrette, il n’y a que cela de vrai. J’adore quand les messieurs sont sauvages à tel point que je sens leurs couilles me donner des coups. Cela ne fait qu’accroître mon plaisir.

Toutefois, rien ne se passe, il me laisse ainsi. Faut-il que je le supplie ?

- Pour la première punition, ce sera 3 sur chaque fesse.

Je sens le premier coup de ceinture. Certes, j’avais déjà reçu des fessées mais pas avec un accessoire. Aïe, cela fait mal mais bizarrement, j’en redemande.

Au deuxième coup, je crie à la fois de douleur et de plaisir. Suis-je normale ?

La troisième tombe, je suis folle. J’ai beau avoir un peu mal, les fesses rougies, je suis en extase, au bord de l’orgasme. Est-ce normal ?

- Je vois que vous aimez les fessées. Mais le but est que vous appreniez la leçon. Toutefois, si c'est vraiment insupportable, dites-le-moi.

Je n'ai pas le temps de répondre, la quatrième tombe. Oh oui, Maître, vous pouvez encore continuer. Viennent les deux derniers coups.

Je me rends compte que je suis essoufflée, que mon excitation est à son maximum. Va-t-il me combler ? Des secondes passent mais que dois-je faire ? Rester ainsi ? Me relever ? Dans le doute, j’attends.

Je finis par entendre des froissements de vêtements. Des mains caressent mes fesses. Elles sont tellement sensibles que je gémis de suite. Monsieur les lèche et chose incroyable continue en léchant mon anus. Hmm, j’adore, continuez Maître. J’ai envie de vous, donnez-moi du plaisir.

- La demoiselle aime l’anus. J’adore la sodomie.

Il recommence son coup de langue dans mon anus et y reste longtemps tandis qu’il me doigte la chatte. Impossible de ne pas bouger, mon bas rein accompagne ses mouvements, suit son rythme.

Il retire sa langue et finit par remplacer ses doigts par son sexe. Je hurle de plaisir.

Il reste immobile. Mais j’en ai trop envie, je bouge.

- Qui vous a dit de bouger ? Vous êtes une vraie chienne comme je les aime. La prochaine fois, je vous mettrais un collier et une laisse. Juste pour vérifier que vous aimez l’humiliation.

Je ne sais pas quoi dire mais rien que d’imaginer l’image qu’il m’a mise dans la tête, il pourrait me les imposer dès maintenant. Mais non, parce qu’il se retirerait et j’ai trop envie de sentir ses coups de reins, de sentir sa bite au plus profond de moi.

Il fait quelques va-et-vient sauvages, bestiaux et malheureusement éjacule bien trop vite pour moi. Il le sait alors il continue jusqu’à obtenir de moi des cris rauques, animaux permettant d’exprimer le fameux orgasme. Celui qui me fait manquer d’oxygène, m’empêchant de m’exprimer mais qui s’accompagne d’une chaleur que j’adore.

Il se retire et se rhabille :

- Relevez-vous. Mais ne venez plus jamais dans mon bureau quand je n'y suis pas. »

Je me relève, remets mon uniforme et quitte son bureau comme une pestiférée. S’il me traite ainsi à chaque fois qu’il me surprend dans son bureau, je suis prête à recommencer. Mais une petite voix me dit que ce n’est pas une bonne idée.

Ne sachant que faire, je me rends à la cuisine et me rends compte que c’est l’heure du petit déjeuner. Combien de temps suis-je rester dans le bureau ?

A peine je rentre que j’entends une voix :

« Lilas, vous êtes en retard.

Je lève la tête, c’est Madame Michelle.

- Désolée Madame, j'étais avec Monsieur.

Elle aussi me jauge. A croire que tous se méfient de moi.

- Asseyez-vous et mangez, je voudrais vous parler.

Je m'installe mais mes fesses rougies sont encore douloureuses. Ma grimace de douleur n'échappe pas à Madame Michelle. Elle parle bas de manière à ce que je sois la seule à entendre ses propos.

- Je m'en doutais. Anna m'a dit que vous appreniez vite mais que vous avez encore des choses à apprendre.

Je reste silencieuse. Je pensais m’en être bien tiré pourtant. Faut croire que non.

- Les Maîtres font ce qu'ils veulent mais je veux vous mettre en garde. Ils ont vraiment des pratiques spéciales. Si vous êtes encore là et que vous supportez vos fesses endolories, c'est que cela vous plaît. Mais je vous mets en garde, n’allez pas au-delà de vos limites.

- Comment cela ?

- Ils sont comme des enfants. Ils ont un nouveau jouet, ils veulent jouer avec jusqu'à le casser et le remplacer.

- Le casser ?

- Ne vous laissez pas détruire. Dites stop quand vous atteignez votre limite, c'est le conseil que je vous donne. Je voulais vous faire nettoyer les toilettes mais cela va être trop compliqué pour vous. Alors, avec Anna, après avoir mangé, vous allez changer les draps et aérer les chambres à l’étage des Maîtres.

- Bien Madame.

- Vous avez l'air d'être une gentille fille. Faites attention à vous. »

Je tourne la tête vers Anna, elle me sourit. Comme la veille, nous nous retrouvons dans la buanderie pour distribution des tâches même si je connaissais déjà la mienne. Anna se dirige vers une bannette remplie d’une pile de draps et me dit :

« Veux-tu bien prendre les deux plumeaux s’il te plaît ? »

J’obéis et la suis à l’étage. Elle me parle de sa soirée, de son petit ami, de ce qu’ils ont regardé la télévision. Je me demande si elle supportait le silence ou si elle parlait parce qu’elle en avait peur.

Nous avons donc changé les draps, passé le plumeau et aérer toutes les chambres au niveau de l’étage des maîtres. Nous y avons passé la journée. Les chambres étaient quasiment identiques si ce n’est le décor. Elles étaient bien plus grandes que nos chambres à nous mais avaient toutes les mêmes meubles : un grand lit douillet, des tables de chevet de chaque côté, un secrétaire, un meuble soutenant une télévision. Dans la chambre des Maîtres à proprement parlé, se trouvait également une coiffeuse. Sûrement celle de la maîtresse de maison.

Certaines chambres avaient des tapis, d’autres non. Certaines avaient des tableaux d’autres non. Toutefois, dans la dernière, je remarquais un petit coffre fermé à clef. J’en fais la remarque à Anna :

« Toutes le chambres possèdent un coffre mais j’ignore ce qu’ils contiennent. J’ai essayé de tous les ouvrir mais rien à faire. Alors j’ai laissé tomber. »

Cette demeure a bien des secrets et j’aimerais beaucoup les découvrir.

Nous descendons avec le reste des draps sales et Madame Michelle m’indique que je suis attendue dans le petit salon. C’est vrai que ce n’est pas un terme que j’ai beaucoup entendu mais je m’y fais.

Je toque et après avoir obtenu l’autorisation, je rentre :

" Je voulais vous voir car Charles m'a raconté ce qui s'est passé ce matin. Comment l'avez-vous vécu et soyez sincère.

Décidément, entre Monsieur qui me jette comme une pestiférée et Madame qui est directe, je ne sais que penser de ce couple assez étrange. Je me revois ce matin dans le bureau et lui réponds :

- J’ai adoré lorsqu’il m’a ligoté et a joué avec mes seins. Quant aux coups de ceinture, j’avoue que j’ai du mal à comprendre comment une douleur peut se mêler à autant de plaisir. Mais quelle apothéose quand il m’a pris en levrette. Je dois dire que dans l’ensemble, j’ai adoré.

Elle me regarde dans les yeux :

- Je sais que je vais me répéter mais sachez une chose, si quelque chose vous déplaît, n’hésitez pas. Certes, vous êtes à notre service pour nous satisfaire, mais il ne faut pas vous sentir obligé de quoi que ce soit. Par contre, ne rentrez plus dans ce bureau sans autorisation. C’est compris ?

- Oui Madame.

Y aurait-il encore un secret dans le bureau ? Décidément, qu’ont-ils à cacher ?

Une personne toque à la porte. Serait-ce Monsieur qui viendrait jouer avec nous deux comme la veille. Et non, Madame Michelle entre avec un homme. Au vu de son attitude et sa mallette, je comprends qu’il s’agit d’un médecin. J’avais oublié, la fameuse prise de sang.

Toutefois, avant de me le faire, il fait les examens habituels comme la prise de tension, des questions sur ma santé…

Lorsque le médecin se lève, j’en fais de même mais Madame me stoppe :

- Restez assise s’il vous plaît.

Elle le raccompagne à la porte, se dirige vers un placard, l’ouvre et en sort un fouet.

Alors oui, j’ai désobéi ce matin. Oui, j’ai eu des coups de ceinture et même si cela m’a plu, mes fesses s’en souviennent encore. Stupeur, elle pose le fouet à côté de moi et se déshabille et se trouve alors nue devant moi.

Qu’elle est belle. Son corps et magnifique et que l’on soit femme ou homme, impossible de ne pas vouloir la désirer. Elle s’allonge sur le ventre sur un autre canapé et m’ordonne :

- Fouettez-moi. 5 sur chacune des fesses et surtout ne le faites pas au même rythme.

Ai-je bien entendu ce qu’elle me demande ? Le fouet n’est donc pas pour moi ? Mais comment oser marquer un corps aussi beau ?

- Vous voulez être punie ?

Je saisis le fouet, m’approche d’elle et lui donne le premier coup. Mais ne sachant m’y prendre et de peur de lui faire mal, j’y vais doucement :

- Plus fort. »

Je mets toute ma force sur le deuxième. Ma maîtresse gémit immédiatement. L’entendre prendre du plaisir m’en donne, je sens que ma chatte ne va pas rester sèche bien longtemps.

Je lui donne le nombre de coups ordonnés et j’ai cru entendre un orgasme de sa part. Quant à moi, si personne ne s’occupe de moi, un plaisir solitaire devrait calmer mes envies ainsi éveillées.

Je m’écarte et attend la suite car j’ignore finalement ce que je dois faire.

Elle se relève, se met face à moi et patiente. J’ignore ce qui me prend mais certainement une pulsion. Je me jette littéralement sur elle et l’embrasse pleine bouche. Mes mains se positionnent naturellement sur sa poitrine si douce.

Je titille ses tétons, les tord tandis qu’elle dégrafe mon uniforme et la laisse me caresser mes fesses, mon dos, mon ventre mes seins.

Une nouvelle fois, je prends l’initiative de descendre une de mes mains dans son intimité mais elle me stoppe. Elle s’écarte, s’allonge sur le dos sur le canapé et m’ordonne :

« Grimpez sur moi et allez jusqu'à l'orgasme. Quand vous l'aurez eu, allez-vous en et ne vous occupez pas du mien. »

J'obéis sans hésitation tellement je la désire, tellement je veux encore du plaisir. Je monte sur elle en prenant garde à ne pas lui faire mal, je fais en sorte que nos 2 intimités se touchent et commence à me frotter contre la sienne. D'abord doucement puis en accélérant.

Je la vois gémir, je vois son désir me posséder, je la vois me dévorer des yeux. Elle s'empare de mes seins à pleine main. Elle joue avec ne faisant qu'augmenter mon plaisir. Oh oui, tordez mes seins, prenez-les en bouche si vous êtes souple mais surtout ne vous arrêtez pas Maîtresse. Continuez.

Je lâche prise, cela devient de plus en plus facile pour moi, je laisse mon corps bouger, s'accorder à son rythme. Je la regarde prendre du plaisir. Je la regarde me désirer. Je la regarde savourer le mien.

Nos gémissements sont accordés mais est-ce seulement des gémissements ou des cris ? Je m’en fiche, je veux que cela s’accélère, je veux sentir de nouveau cet orgasme. Je mets mes seins sur ses seins, je les titille, je les tord et je suis le rythme de nos bas rein respectifs.

Oh oui, encore. Je ne veux pas que cela s’arrête. Elle lâche un de mes seins et mets deux doigts dans mon intimité, je la laisse faire, je la veux. Je souhaite qu’elle me fasse grimper. Et ses deux doigts en moi remue que pour me rendre folle, que pour accélérer l’orgasme qui mets du temps à arriver.

Mais il peut prendre son temps. Je vois l’image que nous renvoyons ne rendant que plus forte l’excitation. Oh non, pas déjà !!! Mais si, il est là. Je ferme les yeux car c’est ainsi que j’aime le savourer, le laisser m’envahir, celui qui est simplement un orgasme.

Je ralentis naturellement. Elle retire ses doigts et les mets dans sa bouche :

« Mon mari a raison, vous êtes succulente.

- Alors, elle a su te satisfaire ?

Je tourne la tête surprise, c’est Monsieur. J’étais tellement prise par nos plaisirs que je ne l'ai même pas entendu entrer.

- Oh oui. Je pense qu’elle ne le sait pas mais elle est switch.

Je me relève, me rhabille et demande :

- Switch ?

- Dans le BDSM, il existe des personnes dominantes celles qui donnent les ordres. Ensuite, des soumises, celles qui aiment obéir. Les switchs sont les personnes qui sont capables d'être l'une ou l'autre en fonction de la situation. M'informe Madame.

- Mais comment savez-vous que je suis switch ?

C'est Monsieur qui prend la parole :

- Vous humilier, vous donner des ordres, vous punir vous excite au plus au point. Ce soir, vous avez fouetté ma femme. Sitôt terminé, vous vous êtes jeté sur elle. Ce qui vous a excité au plus haut point également. Vous aimez dominer et vous aimez vous soumettre.

Je reste bouche bée par cette révélation.

- Allez manger. »

J'obéis à l'ordre de Monsieur. Même si je suis à peine remise de mes émotions. Je vais à la cuisine mais il est bien trop tôt. Je monte me changer avant d’aller dîner.

La soirée se passe le mieux du monde, je participe à des jeux de société avec les autres domestiques. J’apprends ainsi à les connaitre et il est vrai que j’ai bien rigolé.

Mais je n’avais qu’une hâte tout te raconter car je dois dire entre Madame Michelle qui me demande de faire attention, d’avoir été prise par Monsieur et par Madame, c’est quand même extraordinaire.

Le pire, c’est que je n’ai même pas vu Monsieur qui nous observait. Était-il là depuis le début ? A dire vrai peu importe mais rien que de te l’avoir raconté, je les désire encore l’un comme l’autre. Alors, tu sais quoi, je vais t’abandonner, utiliser mon gode pour mon plaisir personnel et te souhaiter une bonne nuit.


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