lundi 1 novembre 2021

Jour 6 - Retour au château


 


Cher journal,

Je suis sûre que tu veux savoir comment s'est passé mon dimanche. J'ai juste glandé. Pas de sexe. 

Peu importe, j'avoue que j'ai du mal à me réveiller ce matin et il est vrai qu'ayant peu à manger, les petit déjeuner au château me manque. J'avale deux tranches de brioche avant de filer à la douche et d'enfiler ma tenue de soubrette. Conformément aux ordres, je suis nue dessous.

J'attrape mon sac et ma valise que je n'ai finalement pas défaite hormis pour laver le peu de fringues sales.

Ce qui est génial avec ce boulot, c'est que la voiture vient nous chercher chez nous. C'est quand même agréable.

J'y retrouve quelques collègues qui ont déjà été récupérés. La voiture fait deux arrêts avant de nous emmener à destination. L'ambiance est conviviale dans la voiture. Du moins, les dix premières minutes puisqu'ensuite, c'est une symphonie de ronflements qui s'ensuit.

Je suis incapable de dormir en voiture. Je regarde le paysage et me demande ce qui m'attend.

Plus nous nous approchons, plus mes collègues se réveillent les uns après les autres :

"C'était ce week-end leur soirée ? Demande Jonas un des domestiques.

- Attends, laisse-moi réfléchir, oui. Merde, cela va être le bordel ! Répond Dominique un jardinier.

- Mais de quoi parlez-vous ? Je demande.

- Tu verras mais tu ne vas pas chômer. Répond Jonas."

Nous arrivons et entrons par la porte de service. Pour tous, nous nous dirigeons dans nos chambres juste le temps de déposer la valise car la cheftaine nous attend de pied ferme et elle a l'air de mauvaise humeur :

"Bonjour à tous, j'espère que vous avez passé un bon week-end et que vous êtes en forme. Il va falloir remettre le manoir en ordre. Comme vous le savez, il y a eu la fameuse soirée et pour avoir fait le tour, vous allez avoir du travail. Une équipe de quatre va se charger de ranger les salles du bas tandis que l'autre va devoir nettoyer derrière la première équipe. Bien sûr pour la première salle, la deuxième équipe aide l'autre. Il en sera de même pour la dernière."

Oh la la mais c'est quoi cette soirée et pourquoi sont-ils tous affolés et stressés.

Je me retrouve avec Anna mais aussi Dominique et deux autres personnes avec qui j'ai pu déjeuner et passer des soirées : Michaël et Jeanne.

Anna et moi sommes chargées de ranger.  Direction le grand salon. Je comprends la panique de mes collègues. Des meubles sont renversés, des verres sont partout, des bouteilles pas toutes vides traînent un peu partout, les plaids couvrant les fauteuils sont tous à terre.

Nous constatons tous les huit, l'étendu des dégâts. Nous nous répartissons les rôles, je suis chargée de donner les verres et les bouteilles à la deuxième équipe qui, en attendant de pouvoir nettoyer, feront les allers retours avec la cuisine. Anna, Dominique et Jeanne connaissant mieux les lieux vont remettre en place les fauteuils, les tables basses ainsi que les plaids.

Mais je ne peux m'empêcher de demander tout en prenant quatre verres et en les tendant à la première personne:

"Vous parlez tous de cette soirée mais en quoi consiste-t-elle ?

Tout le monde baisse la tête et continue leur tâche. Je vais chercher trois bouteilles que je tends à la deuxième personne.

- S'il vous plaît, dites moi. Je voudrais savoir.

Anna relève un fauteuil, souffle et me regarde :

- Tu vois ce que tu fais avec Monsieur et Madame. Dis-toi qu'ils invitent une à deux fois des invités pour faire la même chose en groupe. En fonction de leur nombre, le château ressemble  ce que tu vois. Ils devaient être nombreux. Maintenant, s'il te plaît, nous avons beaucoup de travail car dis-toi que toutes les pièces sauf le bureau et la cuisine sont dans cet état-là. Cette après midi, nous avons tous les lits à faire et les chambres à ranger."

Cher journal, je t'avoue que je n'en reviens pas. Monsieur et Madame s'adonne à des partouzes. Je m'attelle à ma tâche tout en essayant d'imaginer ce à quoi cela peut ressembler.

Mais Anna avait raison, ranger le grand salon et la bibliothèque nous a pris énormément de temps. J'ai vu qu'Anna a un plan des salles ce qui lui permet de replacer avec Dominique et Jeanne les fauteuils à leur bonne place. Bien évidemment une fois les verres et les bouteilles débarrassées, j'aide à nettoyer les tables avant que les derniers meubles soient replacés.

J'avoue que cela est éprouvant mais finalement à huit, étant bien organisé, je trouve que cela va vite. mais le désespoir nous gagne quand nous constatons que la bibliothèque est dans le même état avec des livres éparpillés partout.

Je peux comprendre que Monsieur et Madame aient des invités. Je peux comprendre que des verres et des cadavres de bouteilles traînent. Mais des livres ?

De toute façon, pas le temps de réfléchir nous nous y attelons tous et je demande comment je range les livres : Par ordre alphabétique. Allez, je m'occupe des verres, des bouteilles et des livres.

Quand je place le dernier, je me rends compte qu'ils sont en train de nettoyer les derniers meubles.

Nous allons dans l'aile droite et regardons les deux pièces restantes. La salle à manger nous semble propre mais nous décidons qu'il vaut mieux la nettoyer quand même. Le petit salon n'est pas si dérangé que cela. Nous respirons tous et même si cela nous demanderait moins de temps, pas question de chômer. Car une chose a été claire, nous ne pouvons quitter notre poste le soir tant que nos tâches ne soient terminées.

Mais il est vrai que nous nous détendons et pour la première fois, nous nous permettons de parler. Ce qui rend la corvée légèrement plus agréable.

Nous sommes en train de terminer la salle à manger quand Madame Michelle nous rejoint : "Je vous félicite tous. Je viens de faire le tour et de voir que vous avez tout fait en une matinée, j'avoue que je n'y croyais pas. Pour cette après midi, vous allez vous diviser. Une équipe de quatre se charge de la chambres des invités et des maîtres. La seconde de vos chambres. Voyez entre vous.  Lilas, veuillez rester dans cette salle, debout dans ce coin-ci. Monsieur et Madame tiennent à déjeuner avec vous.

- Bien Madame."

Mes collègues s'éclipsent les uns et les autres avant d'être remplacés par d'autres chargés de mettre la table. Je me mets dans le coin tel qu'ordonné. J'avoue qu'autant la mise en place des couverts a été rapide mais je trouve le temps long. Je me demande si je peux sortir et me déplacer. Mais est-ce que j'aurais le temps de revenir à ma place quand Monsieur et Madame entreront ?

Je piétine pour avoir mal aux pieds mais l'attente est insupportable. J'entends le rire de Madame qui approche. La porte s'ouvre. Norbert tient la porte et laisse entrer d'abord Madame puis Monsieur.

Ils s'installent comme si de rien n'était mais tous deux ont jeté un oeil vers moi mais s'installent comme si de rien n'était. Ils continuent d'ailleurs leur conversation comme si je n'étais pas présente.

Je me demande ce que je dois faire. Mais Maître a été clair : je ne dois bouger que sur ordre. Je reste en position mais j'avoue que quand je vois l'entrée arrivée et poser à la place qui m'est destinée, je salive.

Et pourtant, toujours rien. Monsieur et Madame entament leur entrée. Mercredi, je veux manger ! je veux bouger ! Pourquoi cette torture ?

" Lilas, venez à ma droite et relevez votre robe."

J'obéis même si je me demande la raison. Monsieur se relève, me regarde et glisse un doigt dans ma chatte :

- Vous traitez comme un meuble vous excite. Je prends note. Prenez place et mangez."

J'essaie de marcher tranquillement mais j'avoue que la faim me tiraille. c'est un vrai régal quand je sens les oeufs durs accompagnés de mayonnaise dans ma bouche.

J'ai vite compris pourquoi tous deux voulaient que je mange avec eux. Ils m'interrogent sur ma semaine, sur les actes faits. Si cela me convient, ce que je pense et si je souhaite toujours continuer. Je leur indique que tout me plaît même si j'ai bien du mal à gérer la frustration.

Les plats s'enchaînent et lorsque je termine mon dessert, je m'apprête à me lever :

- Où allez -vous ? me demande Madame.

- Je voulais rejoindre Anna. Elle a sûrement besoin de moi.

- Nous le savons mais vous êtes à nous. Dit Monsieur. Tenez, j'ai ceci pour vous. Ce sont vos résultats.

Je saisis l'enveloppe, l'ouvre et la lis. Tous mes résultats sont bons, je n'ai aucune MST quelle qu'elle soit. Ils sont tous les deux ravis.

Et sans que je comprenne, ils se lèvent. Monsieur installe Madame sur la table loin de nos couverts mais en face de moi de telle manière à a ce que je vois Monsieur glisser sa bouche dans l'entrejambe de sa femme. Tandis qu'elle se tord pour me regarder tout en gémissant.

Mais non, je viens de leur dire que je détestais la frustration... D'autant que je n'ose imaginer le travail qui m'attend derrière. Je les regarde et j'avoue que mon entrejambe s'humidifie très vite.

Maître finit par se relever :

- Lilas, nue et viens manger ta maîtresse comme il se doit."

Je me lève, défais la fermeture éclair et laisse glisser la robe. Je fais le tour et me mets en position pour glisser ma langue dans la chatte de Madame. Au début, je fais des mouvements de bas en haut puis de droite à gauche et je la déguste du mieux que je peux. De temps en temps, je sens la main de Madame qui appuie sur ma tête et me guide.

Monsieur n'est pas en reste. j'entends le bruit d'une fermeture éclair et un vêtement qui glisse. Cela ne manque pas, son gros sexe dur vient m'envahir en profondeur. Je relève la tête une sntreconde avant de continuer de manger Madame. J'essaie de rentrer ma bouche, j'alterne morsures, coups de langue au même rythme des va-et-vient de Monsieur. Madame n'est pas en reste. je l'entends qui crie et laisse appuyer sa main sur ma tête comme pour me dire : mange moi et je t'interdis de t'arrêter.

Malheureusement, rapidement, je sens Monsieur éjaculer en moi. C'est trop rapide. Je pense qu'il le sent alors il reste en moi et continue quelques secondes sans succès. J'entends Maîtresse qui se calme elle aussi.

Une fois libérée de mon Maître je me relève et me sens déboussolée. Est-ce que l'on a vraiment fait cela ?

Maître aide Maîtresse à descendre de la table :

" Lilas, veuillez m'excuser. Je suis allé trop vite. Est-ce que cela vous dit que je vous rejoigne dans votre chambre après vos heures ?

Je n'y crois pas. Pour la première fois, Maître se comporte en homme. C'est vrai que je suis frustrée et que j'ai du travail mais ai-je vraiment le choix de décider ?

- Avec plaisir Maître.

- Ce soir, je serais Monsieur. Rhabillez-vous, donnez-vous bonne contenance et allez rejoindre Anna."

J'obéis comme un robot tandis que Madame et Monsieur sortent de la pièce. Il en a fallu de peu pour que mes collègues me voient nue. j'ai du mal à réaliser et je m'aperçois que je ne le fais que maintenant en t'écrivant cher journal.

Je cours rejoindre Anna, Dominique et Jeanne qui n'étaiebt que dans la première chambre. Mais je me fais vite virer et ordonner de défaire les draps de la seconde. j'obéis et toute l'après midi, j'essaie de faire au plus vite le mieux possible. Je culpabilise d'avoir pris du plaisir alors que mes collègues trimaient pour remettre de l'ordre dans ce château.

Mais si toutes les chambres ressemblaient à la première. Certes, des meubles avaient bouger mais à part cela, il n'y avait que les lits à faire. Ce qui était long était en fait de défaire et faire les lits. Nous sommes deux à le faire tandis que les deux autres remettent les meubles en place et nettoient.

A la dernière chambre, Anna me dit :

"Nous te remercions tous.

- Pourquoi ? je demande.

- Nous savons tous ce que tu étais en train de faire. Et nous avons vu que tu as couru nous rejoindre et en plus tu fais ton maximum comme si tu culpabilisais de nous avoir laissé tomber. Répond jeanne

- Je dois avouer que je me suis sentie mal quand j'étais avec eux en me doutant de tout le travail du jour. Je veux que Madame Michelle soit contente de moi.

- C'est le cas et avec ton attitude de ce jour, cela ne fera que confirmer. Dit Dominique."

j'avoue qu'ils se rendent compte du mal que je me donne, j'en suis fière et contente. Nous redescendons avec la tonne de draps que nous nous répartissons afin de ne faire qu'un voyage. Madame Michelle sort de l'avant dernière chambre et vient nous voir :

"Vous avez fini la dernière chambre ?

- Oui madame, dit Anna. Et je dois avouer que Lilas nous a bien aidé malgré son léger retard.

- C'est vrai ? Vous êtes d'accord Dominique et Jeanne ?

Ils hochent la tête. mais je dois avouer que les draps commencent à peser.

- Lilas, je suis contente de vous et vos collègues sont satisfaits. Je vous remercie de faire très bien votre travail. Allez-y ou vous allez vous écrouler. Vous pouvez tous vous reposer. Vous l'avez mérité."

Elle vérifie la dernière chambre tandis que nous déposons les draps dans la buanderie. Ils décident tous d'aller fêter leur prouesse dans la cuisine mais je m'excuse et leur indique que j'ai besoin d'un vrai repos et redescendrait pour le dîner.

Je monte doucement car mine de rien la journée m'a épuisé. J'ouvre ma chambre et sursaute. Je vois Monsieur allongé sur mon lit en caleçon en train de lire.

"Comment s'est passé votre après-midi Lilas ?

- J'avoue que je suis rompue de fatigue.

Monsieur se lève et viens à moi :

- Vous méritez un massage. 

Il me prend dans ses bras et j'avoue que j'apprécie. Sans que je contrôle mon corps, ma tête se tourne vers lui et il m'embrasse tendrement. j'adore. c'est réconfortant après une telle journee

Je sens sa main sur ma fermeture éclair et il laisse glisser la robe. Il me prend par la main et m'installe sur le dos. Monsieur prend une lotion et se frotte les mains. Et alors démarre le meilleur massage que j'ai jamais connu. Je ferme les yeux, je me laisse à la détente et je crois que je m'endors même quelques minutes.

J'ignore combien de temps Monsieur me dorlote ainsi mais je suis détendue et j'ai le sourire aux lèvre quand ils 'arrête.

Il s'allonge à côté de moi et je me tourne vers lui.

- Lilas, je vous laisse le choix. Mon désir pour vous est insatiable mais je m'adapterais à votre désir. Que voulez-vous ?

- Vos bras."

Il ouvre ses bras et je m'y glisse. Nous discutons de mon week-end, de ma vie, de son travail, se sa relation avec sa femme. Mais j'avoue que ses mains qui me caressent tendrement, doucement même si c'est fait inconsciemment réveille mon désir.

Je décide alors de l'embrasser goulûment tout en prenant son sexe entre mes mains. Une fois sa bite bien dure, je grimpe sur lui et il me laisse jouer à la cavalière. Ce qui ne l'empêche pas de jouer avec mes seins ou de me donner des fessées. j'adore quand je sens le frottement du sexe contre ma chatte. 

C'est moi qui gère et j'adore jouer avec le rythme qu'il soit lent ou qu'il aille plus vite. je gémis et je vois au regarde de Monsieur que cela le satisfait. Il faut dire que m'ayant bien détendu, mon endurance est faible.

Lorsque je ralentis pour m'arrêter, Monsieur nous fait basculer et nous passons en missionnaire. Je le laisse rythmer nos mouvements. Mes cuisses l'enserrent du plus forts que je peux, mon bas rein suit le rythme. J'adore. il me regarde et je vois le plaisir qu'il prend;

Vient alors l'ultime orgasme avant que lui n'éjacule en moi. cette fois, c'est sûr, je ne suis pas frustrée.

Il se retire et s'allonge à côté de moi le temps de reprendre son souffle. 

"Une douche avec moi vous tente ? c'est moi qui vous lave et vous me lavez ?

- Avec plaisir Monsieur."

Il se relève et je m'aperçois qu'il avait tout programmé car il s'empare d'un tas de vêtement et d'une serviette.

j'ouvre ma valise, prend une robe et me saisit d'une serviette poser sur un meuble.

Nous voilà sous la douche. j'ai pris soin de vérifier que la porte était fermée. Nous nous mouillons tous les deux. il faut dire que nous sommes un peu à l'étroit mais e n'est pas grave. J'ai découvert Monsieur autoritaire donnant des ordres. c'est avec plaisir que je découvre un Monsieur tendre qui prend le temps de me laver de me caresser et qui m'a même donné un massage.

Je prends du savon et je commence à frotter Monsieur. D'abord doucement de peur de lui faire mal mais il me demande d'y aller plus fort. Sa peau rougit à chacun de mes gestes. Son sexe se durcit quand je m'occupe de lui mais je n'ai aucune envie de recommencer et je sens que ce n'est pas l'intention de Monsieur de me pénétrer.

Nous nous rinçons. lorsque nous sortons de la douche, Monsieur s'empare de ma serviette, m'y entoure et tâche de m'essuyer avant de faire de même pour lui. Je finis néanmoins de me sécher et nous nous habillons.

Le seul truc, c'est que lorsque nous sortons tous deux de la douche, nous croisons mes collègues qui partent se changer pour le dîner. Alors j'avoue que le fait qu'il sache ne me dérange pas mais qu'ils voient de leurs yeux, je me sens gênée même si cela n'a duré que quelques secondes, le temps que je coure à ma chambre. Monsieur ne m'a pas suivi. J'en conclue qu'il a continué son chemin. je mets à sécher ma serviette, prend mon uniforme et descends.

A la cuisine, le repas n'est pas prêt mais n'étant pas du genre à regarder les autres à travailler, je leur donne un coup de main. Heureusement, pendant le repas, aucune allusion sur le fait que je sois sortie de la douche avec Monsieur. Même si je me doute que tout le monde le saura rapidement.

Une fois mon repas avalé, bien qu'ils m'aient invité à regarder Kaamelott ce soir avec eux, je suis partie dans ma chambre. Hâte de te raconter tout cela. Je vais regarder Kaamelott mais je pense que je ne vais pas tarder à fermer les yeux.

Mais une dernière pensée me vient. cela fait bien longtemps qu'un homme ne m'avait pas fait l'amour aussi tendrement. Même un massage, je ne suis pas sûre d'en avoir eu déjà un de la part de mes partenaires.  Si Monsieur pouvait recommencer, ce serait avec plaisir. Mais un autre manque arrive : celui de dormir avec quelqu'un...

Bon allez, j'arrête avec mes histoires. Bonne nuit à toi, cher journal.

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