mardi 28 septembre 2021

Jour 2 - Mon premier jour

 




Cher Journal,

Au réveil ce matin, j’ai eu un moment de panique. Ne reconnaissant pas les lieux, une angoisse est née

Je regarde le réveil, Flûte, je vais être en retard si je ne me dépêche pas. Je sors de mon lit, prend l’un des uniformes que j’ai rangé dans le placard. Je prends ma trousse de toilettes et me voilà pour la douche. J’ai juste le temps de déposer ma trousse de toilettes et récupérer mon uniforme pour éviter d’être en retard. Je le dépose dans la buanderie et me dirige ver la cuisine.

J’y retrouve le personnel de la veille. J’apprends que seuls ceux résidant à demeure ont droit à un petit déjeuner. Les discussions vont bon train. La cuisine se vide peu à peu et je commence à m’inquiéter. J’ignore les tâches qui m’incombent ce jour. Une jeune femme ayant le même uniforme m’invite à venir avec elle. Je la suis dans la buanderie et je m’aperçois qu’au vu du nombre que nous sommes, nous avons bien du mal à tous rentrer dans la pièce.

Madame Michelle a une liste à la main et je m’aperçois que la même est accrochée au mur derrière elle. Elle donne des binômes et leurs tâches. Dès que leurs noms sont cités, ils prennent ce dont ils ont besoin dans les placards et quittent la pièce. Et ce, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que moi et une femme en uniforme, rousse, de grande taille, élancée, petite poitrine (pourquoi je regarde cela, moi ?), des yeux marrons enjoliveurs.

Madame Michelle nous présente l’une à l’autre :

« Anna, je te présente Lilas, la nouvelle. Lilas, je vais me permettre de te tutoyer, tu seras avec Anna. Toutes les deux, vous allez dépoussiérer les pièces du rez de chaussée. Anna, je te laisse lui expliquer ce qu’elle doit faire. Lilas, sache que je contrôle tout et qu’au moindre faux pas, tu peux être congédier alors applique toi. »

J’ignore comment je dois considérer cette dernière phrase. Anna ouvre une porte de placard et en sors deux plumeaux. Nous commençons par les pièces à la gauche de l’entrée soit le grand salon. Anna m’explique qu’elle va passer le plumeau au-dessus et sous les meubles. Elle s’empare d’un petit tabouret et grimpe dessus. Quant à moi, j’ouvre une des fenêtres et secoue les plaids et les coussins à l’extérieur. Je prends soin de les remettre en place.

Anna commence à me parler de sa vie. Elle a toujours vécu dans le village d’à côté. Elle connaît son petit ami depuis toute petite et n’envisage pas de quitter la région. Seulement voilà, le travail manque alors ils sont tous les deux venus travailler dans cette demeure. Lui est jardinier. Néanmoins, ne souhaitant pas faire ce métier toute sa vie, elle économise depuis quelques années déjà afin de reprendre la boutique de fleurs que lui a promis la propriétaire. Le week-end, elle y va régulièrement et se fait former à ce métier.

Pendant qu’elle parle, ayant terminé le grand salon, nous continuons dans la bibliothèque. Elle s’occupe de passer le plumeau sur les livres et je m’occupe des coussins et des plaids. Mais moins nombreux, je viens vite aider Anna. Elle me pose des questions sur ma vie. Je comprends vite qu’elle, ayant une vie posée, presque tracée a du mal à concevoir que je ne me projette pas dans le futur et avance selon ce qui se présente à moi.

Ayant termine la bibliothèque, je vais pour ouvrir la porte du bureau quand elle me stoppe :

« Arrête-toi malheureuse. Monsieur est sûrement dans son bureau. Nous ne pouvons entrer que sur autorisation. »

Je toque à la porte et entends un « Entrez.

J’ouvre la porte et entrons toutes deux avant de la refermer.

- Que voulez-vous mesdemoiselles ?

- C’est pour la poussière Monsieur. »

Je la vois rougir et baisser les yeux. J’ai appris plus tard qu’il l’intimidait et lui faisait peur. Il nous fait un signe d’acquiescement.

Le bureau est une petite pièce avec des bibliothèques le long des murs, deux chaises donnant sur le bureau. Monsieur est assis de l’autre côté sur une troisième.

Naturellement, avec Anna, nous prenons chacune un côté. Anna qui n’avait fait que parler est dans un mutisme incroyable. Peu importe, cela me dérange peu. En revanche, plusieurs fois je me retourne et m’aperçois que Monsieur m’observe.

Je me demande si Anna ou d’autres femmes ont le même contrat que moi ou suis-je la seule ? Je me demande également ce que signifie cette observation. J’avoue que quand je croise son regard, je n’arrive pas à le déchiffrer. Je continue ma tâche en essayant de faire abstraction.

Une fois notre corvée terminée, avec Anna, nous allions sortir :

« Lilas, veuillez rester avec moi s’il vous plaît. »

Anna n’aurait pas pu sortir aussi vite du bureau. Ne sachant que faire, je me retourne et me dirige vers le bureau. Je souris et je soutiens le regard de Monsieur. Allait-il jouer avec moi ? Le moment serait-il venu ?

« Venez me voir s’il vous plaît. »

Je contourne le bureau et je m’aperçois que Monsieur a sorti son sexe de son pantalon. Il est dur et magnifique. Il semble grand et gros comme je les aime. Monsieur fait des va-et-vient avec sa main. Je comprends qu’il se masturbait pendant que je m’appliquais à ma tâche.

J’ai qu’une envie, passer sous le bureau, le manger, le lécher, le déguster, le mettre au plus profond de ma gorge. Comme s’il lisait en moi, il me dit :

« Lilas, j'aimerais beaucoup que vous me soulagiez. Mais je ne veux en aucun cas vous forcer. Faites-le si vous en avez envie. »

Jamais un sexe ne m’avait autant envoûté. Je contourne une nouvelle fois le bureau et me glisse dessous. Je positionne ma tête au niveau de son sexe. Il retire sa main et me laisse le prendre en bouche. Comme j’en avais envie. Sans que je ne m’en rende compte, j’accélère, je stoppe, je le lèche avant de reprendre un rythme effréné. Je sens son regard sur moi, je ressens son plaisir de me voir ainsi, le déguster :

« Ralentissez. Je vous dirais quand vous pourrez accélérer. »

J'obéis, je ralentis à mon grand désespoir. Je décide de l’enfoncer dans ma bouche totalement. Je le laisse bouger en moi très lentement. Ne tenant jamais longtemps en gorge profonde. Je reprends la fellation plus lentement que précédemment.

Mon plaisir est immense, ma chatte est humide comme jamais mais cela ne me dérange pas que ce soit moi qui m’occupe de lui. Il est délicieux et je crois qu’après un sexe tel que lui, les autres risquent de me décevoir. Mais j’aurais bien aimé être prise à ce moment. L’orgasme serait arrivé en moins de deux.

Enfin, il m’autorise :

« Accélérez et avalez tout. Cette fois, C'est un ordre. »

Mes va-et-vient se font plus rapide. Je veux lui faire plaisir, je veux le satisfaire, je veux qu’il me désire comme jamais, je veux qu’il me déguste, je veux qu’il me pénètre, je veux…

Impossible de continuer le fil de ma pensée, son sperme coule dans ma bouche et je me concentre pour l’avaler jusqu’à la dernière goutte. C’est lui qui m’indique qu’il a terminé en se reculant doucement. Je relève ma tête et recule pour sortir de dessous le bureau :

« Ce midi, vous déjeunerez avec ma femme et moi. Maintenant, laissez-moi. »  

Tu le crois toi ? Pas un mot, pas un merci, rien sur ce qui venait de se passer. J’ignore si cela lui a plu et me jette dehors comme une moins que rien alors que son sperme est encore présent dans ma gorge. Est-ce voulu ? Est-ce ainsi que je serais traitée à l’avenir ?

J’obéis un peu déçue. Je sors par la porte principale et je vais dans le petit salon. Anna ne s’y trouvant pas, je la retrouve dans la dernière pièce qui nous restait à faire : la salle à manger.

« Anna, comment puis-je t’aider ?

Elle me regarde bizarrement. Quelque chose a changé.

- Prend l’autre vaissellier. Passe un coup de plumeau partout mais prend garde à la vaisselle, elle est fragile. »

Anna reste silencieuse. Oui quelque chose a changé. S’est-elle douté de ce qui s’est passé ? Est-ce que les autres savaient ? Je ne voulais pas la bousculer alors je suis moi aussi rester silencieuse.

Une fois la pièce terminée, nous allons secouer nos plumeaux à l’extérieur avant de les remettre en place. Je suis alors Anna qui se dirige dans la cuisine. Nous aidons comme nous le pouvons les cuisiniers mais notre rôle se consistait à nettoyer dès qu’il salissait un plan de travail ou un ustensile.

Une petite clochette retentit.

« Lilas, tu devrais te rendre dans la salle à manger. Les maîtres y sont. »

Bon, va falloir que je parle avec elle. Elle était si chaleureuse, si enjouée. J’aimerais garder cette bonne entente surtout si nous devons travailler en binôme. Je me dirige vers la petite porte attenante et je frappe.

Après avoir eu l’autorisation, j’ouvre la porte et m’aperçois que non seulement la table a été mise mais que Monsieur est assis en bout de table, à sa gauche, Madame et une assiette en face d’elle m’attendait.

Je m’y assieds et j’avoue que je suis impressionnée. Ils sont vraiment imposants, une autorité se dégagent d’eux et je n’oublie pas comment Monsieur m’a jeté de son bureau.

Toutefois, il semble bien plus plaisant et agréable. Il me pose des questions sur mon arrivée et sur ma matinée. Je m’aperçois qu’il évite soigneusement le passage dans le bureau.

Je sens le regard de Madame sur moi. Elle ne dit quasiment rien jusqu’à ce que le dessert soit servi :

« J'ai eu des bons échos de la part de Michelle à propos de vous. Il est temps de vous régulariser et de vous présenter vos contrats.

Elle a bien dit « vos contrats » ? Je pensais qu’un seul concernant mon travail était suffisant.

Monsieur sort des documents de son attaché case que je n'avais pas remarqué et pourtant bien en évidence à côté de lui.

- Charles vous tend votre contrat de travail. Prenez le temps de le lire et signez-le d'ici la fin de semaine. Si jamais vous avez des questions, nous sommes à votre disposition.

- Merci Monsieur. Merci Madame.

Monsieur prend alors la parole :

- Avec Françoise, nous avons décidé de vous faire signer, si vous le voulez, un deuxième contrat.

- Un deuxième contrat ?

- Oui, il est un peu particulier. Nous avons formalisé par ce contrat la manière dont vous devrez nous satisfaire sexuellement. Dans ce contrat, nous n'y avons mis que des choses globales. Aucun détail. Lisez-le et dites-nous ce que vous en pensez. A un endroit, vous verrez un trou. Il faudrait que vous y mettiez un mot. Ce dernier est important. Lors de nos plaisirs, vous pouvez à tout moment le prononcer. Mais si vous le faites, tout s’arrêtera. C’est ce que nous appelons dans notre jargon un mot de sécurité.

Monsieur fait une pause me laissant le temps d'assimiler les informations.

Madame reprend :

- Votre consentement est primordial pour nous ainsi que votre plaisir. Alors ne vous sentez pas obligé de faire quoique ce soit. »

Je hoche la tête car je ne sais pas quoi répondre. Je prends les documents et entreprends de les ranger dans ma chambre. Je regarde l’heure et remarque mon retard. J’entends toquer à ma porte :

« Entrez.

C’est Madame Michelle qui vient m’ouvrir.

- Veuillez m’excuser, j’ai déjeuné avec Monsieur et Madame et je n’ai pas vu l’heure passée.

- Ne vous excusez pas, j’ai l’habitude les premiers jours. Allez dans le grand salon, vous y êtes demandé. Une fois terminé, attendez-moi de la cuisine, en fonction de l’heure nous aviserons. »

Je redescends et me demande qui peut me quémander. Dans le même temps, il n’existe que deux possibilités : Monsieur ou Madame.

Ayant descendu les escaliers, je suis essoufflée. Je prends quelques secondes pour reprendre ma respiration et frappe à la porte du grand salon.

J’entends la réponse de Madame au travers de ce qui me semble un gémissement :

« Entrez »

J’ouvre la porte et la referme derrière moi avant de rester interloquée face au spectacle qui se joue devant moi. Madame est à moitié assise nue sur un canapé. Monsieur est habillé et est en train simplement de lui faire un cunnilingus.

J’avoue que je ne savais pas comment réagir. Une partie de moi avait envie de les laisser entre eux mais une autre avait envie que je me déshabille et les rejoigne. J’avoue que les seins de Madame en forme de melon, pointus me donne envie d’y gouter. Elle a un ventre plat mais que j’ai envie d’embrasser et de lécher. Je ne vois pas sa partie intime mais je suppose qu’elle est aussi envoûtante que le reste de son corps.

Suis-je normal de vouloir désirer à ce point une femme ?

Monsieur se tourne vers moi :

« Que diriez-vous de goûter à Madame pendant que je m'amuse avec vous ?

Pour toute réponse, je reste immobile. Dois-je obéir ou dois-je fuir ? Je crois que cette question, je me la poserais à chaque fois qu’ils voudront jouer avec moi.

« Allez, rejoignez-nous. Ne soyez pas timide. »

Il se relève, vient à moi, me prend la main et m’agenouille. Il faut dire que je n’éprouve aucune résistance. Avec sa main, il positionne ma tête au niveau de la chatte de Madame. J’avoue que j’hésite car j’ai vraiment peur de mal faire. Mais je me laisse aller. J’y glisse timidement ma langue. Madame gémit instantanément.

Devant tant de plaisir, je me laisse aller, je lâche prise et je laisse ma bouche et ma langue bouger, décider du rythme, avaler la cyprine. Quand je sens qu’elle s’assèche, je glisse un doigt ou deux afin que Madame crie son plaisir.

J’avoue que je suis fière de l’entendre ainsi. Mais j’avoue qu’elle réveille mon envie, qu’elle réveille mon plaisir, que ma chatte s’humidifie de nouveau. Instinctivement, je me suis mise à quatre pattes même si mes mains sont sur le corps de Madame. Monsieur, relève ma robe, pose ses mains sur mes fesses et les caresse :

« J'adore les fesses bien rondes. Depuis que je vous ai vu, je meurs d'envie de vous posséder. »

Cette phrase a juste pour effet de m'exciter encore plus. Il glisse un doigt dans ma chatte et s’extasie de la voir aussi trempée. J’ai envie qu’il me prenne, j’ai envie de sentir son sexe en moi pendant que je donne jouissance sur jouissance à sa femme.

Mais au lieu de sentir un sexe, je sens deux doigts et une langue. Bien que ma bouche se soit emparée de l’intimité de Madame, mes gémissements se font entendre. C’est Monsieur qui rythme le mien que j’impose ensuite à Madame. Il s’arrête juste pour dire :

« Je confirme. vous êtes exquise. »

J'entends alors un bruit de fermeture éclair, des vêtements qui glissent à terre et un sexe qui me pénètre violemment, brutalement sauvagement. Je crie de surprise mais cela devient vite des gémissements.

Je réalise alors le tableau que nous devions former. Madame nue sur le canapé, moi, la bouche dans son intimité, semi à quatre pattes avec Monsieur qui me défonce littéralement ma chatte.

L’ensemble m’excite, me fait jouir, me donne du plaisir. Je sais que je suis accroc à lui. Je sais toujours quand il commence mais ne souhaite jamais qu’il ne s’arrête.

Monsieur continue de donner de coups de reins. Mes coups de langues suivent le rythme. Et nous nous sommes retrouvées, Madame et moi, à gémir simultanément. Doucement puis de plus en plus fort. J'ignore laquelle de nous deux crie le plus fort.

«  Oh quelle est bonne cette chatte. Je sens que je vais beaucoup vous baiser, mademoiselle. Lâchez-vous ! »

J’obéis. S’il y avait une once de moi qui avait encore le contrôle de mon corps, elle vient de le perdre. Je perds alors le fil de ce qui se passe. Je subis et fais subir pour le plus grand plaisir de tous. C’est un délice et j’en veux encore et toujours.

Mais je sens dans ma bouche que Madame coule. N’ayant pas l’habitude, j’avale ce que je peux mais j’avoue que j’en ai un peu sur mon visage et qu’il y en a un peu sur le corps de Madame.

Le goût est différent du sperme mais tout aussi délicieux. J’ai envie de recommencer mais je sens bien que cela ne sera pas tout de suite. Je m’aperçois qu’elle nous regarde : son mari en train de me défoncer et moi dont mon visage est déformé par le plaisir subi.

Monsieur continue, je perds mon souffle, je ne respire plus, je sais que la chaleur va arriver. Tous les signes sont là : un orgasme. Que j’aime le ressentir. Monsieur continue quelques secondes avant qu’il ne se retire.

Avec Monsieur nous nous redressons et il tend à sa femme et moi des mouchoirs pour que nous puissions nous essuyer. Nous nous rhabillons chacun de manière correcte et m’aperçois que Madame ne met aucun sous-vêtement sous sa robe.

Monsieur me demande alors :

« N'avez-vous aucune MST ? Prenez-vous la pilule ?

- J'ai toujours été prudente et je prends effectivement la pilule.

- Ne vous méprenez pas mais c'est un sujet important. Demain, le médecin viendra vous voir et vous fera une prise de sang.

- Bien Monsieur.

- Sachez que vous pouvez être fière de vous car rares sont les femmes qui arrivent à faire éjaculer ma femme. Vous n’imaginez pas le plaisir que nous avons pris. Merci à vous et allez rejoindre Anna. »

Je sors mais j’ai du mal à marcher avec l’euphorie qui accompagne toujours mes orgasmes.

Je retourne à la cuisine et Madame Michelle me demande de retrouver Anna dans les chambres des domestiques. Elle est en train de changer les draps à l’étage au-dessus du mien.

Je cours la rejoindre et lorsque je rentre, je suis surprise de son ton et de sa phrase :

« Alors, tu es leur nouveau jouet ?

- Tu es au courant ?

- Tu es loin d’être la première et dans une demeure telle que celle-ci, il est bien difficile de cacher les choses.

- C’est pour cela que tu as changé d’attitude envers moi ? Toi aussi, tu l’es ?

- Ils ont voulu mais j'ai refusé. Je pensais qu'ils me vireraient mais ils ont accepté mon refus et m’ont gardé dans leur équipe. Ils sont respectueux et gentils. Ils connaissent la signification d'un non. Mais c’est vrai que j’ai du mal à comprendre les filles comme toi qui acceptent sans vergogne ce genre de choses.

- J’adore le sexe et je me fiche de la personne avec qui je le fais tant qu’elle me procure du plaisir. Mais qu’entends-tu par « Ils connaissent la signification d’un non » ?

Anna se détend et je retrouve celle du matin avant l’épisode du bureau. Elle s’approche de moi pour me chuchoter :

- Ils ont des amis comme eux et malheureusement d'autres le sont moins.

- Ah bon ?

- Mais il vaut mieux ne rien dire. Sache juste qu'il est préférable de ne jouer avec aucun de leurs amis. Mais du coup, Monsieur et Madame te donnent du plaisir ?

- Je ne l’ai fait qu’une fois avec une femme avec l’envie de recommencer. Et je dois admettre que oui, je prends du plaisir avec les deux.

- Toi, tu vas rester un moment.

-  Comment cela ?

- Je te le dirais après. Finissons et après je t'emmène au village. Nous pourrons parler. »

Je l’ai aidé le restant de l’après midi et nous nous sommes mises à bavarder de tout et de rien. Dès que le sujet s’approchait de la demeure ou de Monsieur ou de Madame, elle en changeait. Je ne voulais pas perdre son amitié alors je fais mine de ne pas m'en apercevoir.

Une fois nos corvées terminées, je me précipite dans ma chambre pour m’habiller civilement. J’avoue qu’après deux jours sans sous-vêtements et avec uniforme, cela me fait tout drôle d’en remettre et de me revoir avec mes habits.

Un groupe de domestique m’attend en bas et nous montons tous en voiture. Anna conduit l’une d’elles et me promet de me ramener à l’heure du repas. Je me laisse à boire deux ou trois pintes de bière mais le moment n’est pas propice aux révélations que j’attendais.

Ce serait pour une autre fois. Comme promis, à l’heure du dîner, elle me ramène jusque devant la porte principale. Je n’oublie pas les consignes et contourne la demeure pour rentrer par la porte discrète et rejoindre la cuisine. Comme la veille, une bonne humeur est présente. Ils ont tous commencé à me taquiner pour savoir où j’étais passée. J’ai joué leur jeu. Mais je t’avoue qu’après le repas, je n’avais qu’une envie, qu’une hâte, venir tout te raconter.

Je crois que cela m’aide à réaliser que tout ce qui s’est produit a été réel et n’est pas issu de mon imagination.

Mais seulement voilà, entre la fellation sous le bureau et le triolisme, j’ai la chatte en feu. Alors promis, dès que je lève mon stylo, je sors un gode et me procure un plaisir solitaire.

Je suis sûre que tu es en train de m’imaginer, nue, sur le lit, jambes écartées, une main qui joue avec le gode et l’autre qui joue avec mes seins. Ou alors, tu m’imagines mettre le gode droit, moi assise dessus, mes mains caressant mes seins en suivant le rythme.

Oh la la, bon, je vais te laisser et si tu es sage peut-être que je te dirais comment je me suis comblée seule.

Je te dis à demain, cher journal

Note aux lecteurs : n'hésitez pas à donner votre avis, de faire une critique constructive et pourquoi pas le partager sur les réseaux sociaux. Un grand merci à tous ceux qui le feront.

3 commentaires:

  1. Magnifique. J'adore tes récits. Est véridiques ? Tes maîtres te l'autorise? Merci de ces partages amitiés

    RépondreSupprimer
  2. oui, j'espere vraiment que c'est une histoire vraie, votre vraie vie.

    RépondreSupprimer