Cher Journal,
Au réveil ce matin, j’ai eu un
moment de panique. Ne reconnaissant pas les lieux, une angoisse est née
Je regarde le réveil, Flûte, je vais
être en retard si je ne me dépêche pas. Je sors de mon lit, prend l’un des uniformes
que j’ai rangé dans le placard. Je prends ma trousse de toilettes et me voilà
pour la douche. J’ai juste le temps de déposer ma trousse de toilettes et récupérer
mon uniforme pour éviter d’être en retard. Je le dépose dans la
buanderie et me dirige ver la cuisine.
J’y retrouve le personnel de la
veille. J’apprends que seuls ceux résidant à demeure ont droit à un petit
déjeuner. Les discussions vont bon train. La cuisine se vide peu à peu et je
commence à m’inquiéter. J’ignore les tâches qui m’incombent ce jour. Une jeune
femme ayant le même uniforme m’invite à venir avec elle. Je la suis dans la
buanderie et je m’aperçois qu’au vu du nombre que nous sommes, nous avons bien du
mal à tous rentrer dans la pièce.
Madame Michelle a une liste à la
main et je m’aperçois que la même est accrochée au mur derrière elle. Elle donne
des binômes et leurs tâches. Dès que leurs noms sont cités, ils prennent ce
dont ils ont besoin dans les placards et quittent la pièce. Et ce, jusqu’à ce
qu’il ne reste plus que moi et une femme en uniforme, rousse, de grande taille,
élancée, petite poitrine (pourquoi je regarde cela, moi ?), des yeux
marrons enjoliveurs.
Madame Michelle nous présente l’une
à l’autre :
« Anna, je te présente Lilas,
la nouvelle. Lilas, je vais me permettre de te tutoyer, tu seras avec Anna.
Toutes les deux, vous allez dépoussiérer les pièces du rez de chaussée. Anna,
je te laisse lui expliquer ce qu’elle doit faire. Lilas, sache que je contrôle
tout et qu’au moindre faux pas, tu peux être congédier alors applique toi. »
J’ignore comment je dois considérer
cette dernière phrase. Anna ouvre une porte de placard et en sors deux
plumeaux. Nous commençons par les pièces à la gauche de l’entrée soit le grand
salon. Anna m’explique qu’elle va passer le plumeau au-dessus et sous les
meubles. Elle s’empare d’un petit tabouret et grimpe dessus. Quant à moi, j’ouvre
une des fenêtres et secoue les plaids et les coussins à l’extérieur. Je prends soin
de les remettre en place.
Anna commence à me parler de sa vie.
Elle a toujours vécu dans le village d’à côté. Elle connaît son petit ami
depuis toute petite et n’envisage pas de quitter la région. Seulement voilà, le
travail manque alors ils sont tous les deux venus travailler dans cette
demeure. Lui est jardinier. Néanmoins, ne souhaitant pas faire ce métier toute sa
vie, elle économise depuis quelques années déjà afin de reprendre la boutique
de fleurs que lui a promis la propriétaire. Le week-end, elle y va
régulièrement et se fait former à ce métier.
Pendant qu’elle parle, ayant terminé
le grand salon, nous continuons dans la bibliothèque. Elle s’occupe de passer
le plumeau sur les livres et je m’occupe des coussins et des plaids. Mais moins
nombreux, je viens vite aider Anna. Elle me pose des questions sur ma vie. Je
comprends vite qu’elle, ayant une vie posée, presque tracée a du mal à concevoir
que je ne me projette pas dans le futur et avance selon ce qui se présente à
moi.
Ayant termine la bibliothèque, je
vais pour ouvrir la porte du bureau quand elle me stoppe :
« Arrête-toi malheureuse. Monsieur est
sûrement dans son bureau. Nous ne pouvons entrer que sur autorisation. »
Je toque à la porte et entends un « Entrez.
J’ouvre la porte et entrons toutes deux
avant de la refermer.
- Que voulez-vous mesdemoiselles ?
- C’est pour la poussière Monsieur. »
Je la vois rougir et baisser les yeux.
J’ai appris plus tard qu’il l’intimidait et lui faisait peur. Il nous fait un
signe d’acquiescement.
Le bureau est une petite pièce avec
des bibliothèques le long des murs, deux chaises donnant sur le bureau.
Monsieur est assis de l’autre côté sur une troisième.
Naturellement, avec Anna, nous
prenons chacune un côté. Anna qui n’avait fait que parler est dans un mutisme
incroyable. Peu importe, cela me dérange peu. En revanche, plusieurs fois je me
retourne et m’aperçois que Monsieur m’observe.
Je me demande si Anna ou d’autres
femmes ont le même contrat que moi ou suis-je la seule ? Je me demande
également ce que signifie cette observation. J’avoue que quand je croise son
regard, je n’arrive pas à le déchiffrer. Je continue ma tâche en essayant de
faire abstraction.
Une fois notre corvée terminée, avec
Anna, nous allions sortir :
« Lilas, veuillez rester avec moi s’il
vous plaît. »
Anna n’aurait pas pu sortir aussi
vite du bureau. Ne sachant que faire, je me retourne et me dirige vers le
bureau. Je souris et je soutiens le regard de Monsieur. Allait-il jouer avec
moi ? Le moment serait-il venu ?
« Venez me voir s’il vous
plaît. »
Je contourne le bureau et je m’aperçois
que Monsieur a sorti son sexe de son pantalon. Il est dur et magnifique. Il
semble grand et gros comme je les aime. Monsieur fait des va-et-vient avec sa
main. Je comprends qu’il se masturbait pendant que je m’appliquais à ma tâche.
J’ai qu’une envie, passer sous le
bureau, le manger, le lécher, le déguster, le mettre au plus profond de ma gorge.
Comme s’il lisait en moi, il me dit :
« Lilas, j'aimerais beaucoup
que vous me soulagiez. Mais je ne veux en aucun cas vous forcer. Faites-le si
vous en avez envie. »
Jamais un sexe ne m’avait autant
envoûté. Je contourne une nouvelle fois le bureau et me glisse dessous. Je positionne
ma tête au niveau de son sexe. Il retire sa main et me laisse le prendre en
bouche. Comme j’en avais envie. Sans que je ne m’en rende compte, j’accélère, je
stoppe, je le lèche avant de reprendre un rythme effréné. Je sens son regard sur
moi, je ressens son plaisir de me voir ainsi, le déguster :
« Ralentissez. Je vous dirais
quand vous pourrez accélérer. »
J'obéis, je ralentis à mon grand
désespoir. Je décide de l’enfoncer dans ma bouche totalement. Je le laisse
bouger en moi très lentement. Ne tenant jamais longtemps en gorge profonde. Je
reprends la fellation plus lentement que précédemment.
Mon plaisir est immense, ma chatte
est humide comme jamais mais cela ne me dérange pas que ce soit moi qui m’occupe
de lui. Il est délicieux et je crois qu’après un sexe tel que lui, les autres risquent
de me décevoir. Mais j’aurais bien aimé être prise à ce moment. L’orgasme
serait arrivé en moins de deux.
Enfin, il m’autorise :
« Accélérez et avalez tout.
Cette fois, C'est un ordre. »
Mes va-et-vient se font plus rapide.
Je veux lui faire plaisir, je veux le satisfaire, je veux qu’il me désire comme
jamais, je veux qu’il me déguste, je veux qu’il me pénètre, je veux…
Impossible de continuer le fil de ma
pensée, son sperme coule dans ma bouche et je me concentre pour l’avaler jusqu’à
la dernière goutte. C’est lui qui m’indique qu’il a terminé en se reculant
doucement. Je relève ma tête et recule pour sortir de dessous le bureau :
« Ce midi, vous déjeunerez avec ma
femme et moi. Maintenant, laissez-moi. »
Tu le crois toi ? Pas un mot,
pas un merci, rien sur ce qui venait de se passer. J’ignore si cela lui a plu
et me jette dehors comme une moins que rien alors que son sperme est encore
présent dans ma gorge. Est-ce voulu ? Est-ce ainsi que je serais traitée à
l’avenir ?
J’obéis un peu déçue. Je sors par la
porte principale et je vais dans le petit salon. Anna ne s’y trouvant pas, je
la retrouve dans la dernière pièce qui nous restait à faire : la salle à
manger.
« Anna, comment puis-je t’aider ?
Elle me regarde bizarrement. Quelque
chose a changé.
- Prend l’autre vaissellier. Passe
un coup de plumeau partout mais prend garde à la vaisselle, elle est fragile. »
Anna reste silencieuse. Oui quelque
chose a changé. S’est-elle douté de ce qui s’est passé ? Est-ce que les
autres savaient ? Je ne voulais pas la bousculer alors je suis moi aussi
rester silencieuse.
Une fois la pièce terminée, nous
allons secouer nos plumeaux à l’extérieur avant de les remettre en place. Je
suis alors Anna qui se dirige dans la cuisine. Nous aidons comme nous le
pouvons les cuisiniers mais notre rôle se consistait à nettoyer dès qu’il
salissait un plan de travail ou un ustensile.
Une petite clochette retentit.
« Lilas, tu devrais te rendre
dans la salle à manger. Les maîtres y sont. »
Bon, va falloir que je parle avec
elle. Elle était si chaleureuse, si enjouée. J’aimerais garder cette bonne
entente surtout si nous devons travailler en binôme. Je me dirige vers la
petite porte attenante et je frappe.
Après avoir eu l’autorisation, j’ouvre
la porte et m’aperçois que non seulement la table a été mise mais que Monsieur
est assis en bout de table, à sa gauche, Madame et une assiette en face d’elle
m’attendait.
Je m’y assieds et j’avoue que je
suis impressionnée. Ils sont vraiment imposants, une autorité se dégagent d’eux
et je n’oublie pas comment Monsieur m’a jeté de son bureau.
Toutefois, il semble bien plus
plaisant et agréable. Il me pose des questions sur mon arrivée et sur ma
matinée. Je m’aperçois qu’il évite soigneusement le passage dans le bureau.
Je sens le regard de Madame sur moi.
Elle ne dit quasiment rien jusqu’à ce que le dessert soit servi :
« J'ai eu des bons échos de la
part de Michelle à propos de vous. Il est temps de vous régulariser et de vous
présenter vos contrats.
Elle a bien dit « vos contrats » ?
Je pensais qu’un seul concernant mon travail était suffisant.
Monsieur sort des documents de son
attaché case que je n'avais pas remarqué et pourtant bien en évidence à côté de
lui.
- Charles vous tend votre contrat de
travail. Prenez le temps de le lire et signez-le d'ici la fin de semaine. Si jamais
vous avez des questions, nous sommes à votre disposition.
- Merci Monsieur. Merci Madame.
Monsieur prend alors la parole :
- Avec Françoise, nous avons décidé
de vous faire signer, si vous le voulez, un deuxième contrat.
- Un deuxième contrat ?
- Oui, il est un peu particulier.
Nous avons formalisé par ce contrat la manière dont vous devrez nous satisfaire
sexuellement. Dans ce contrat, nous n'y avons mis que des choses globales.
Aucun détail. Lisez-le et dites-nous ce que vous en pensez. A un endroit, vous
verrez un trou. Il faudrait que vous y mettiez un mot. Ce dernier est
important. Lors de nos plaisirs, vous pouvez à tout moment le prononcer. Mais si
vous le faites, tout s’arrêtera. C’est ce que nous appelons dans notre jargon
un mot de sécurité.
Monsieur fait une pause me laissant
le temps d'assimiler les informations.
Madame reprend :
- Votre consentement est primordial
pour nous ainsi que votre plaisir. Alors ne vous sentez pas obligé de faire
quoique ce soit. »
Je hoche la tête car je ne sais pas quoi
répondre. Je prends les documents et entreprends de les ranger dans ma chambre.
Je regarde l’heure et remarque mon retard. J’entends toquer à ma porte :
« Entrez.
C’est Madame Michelle qui vient m’ouvrir.
- Veuillez m’excuser, j’ai déjeuné
avec Monsieur et Madame et je n’ai pas vu l’heure passée.
- Ne vous excusez pas, j’ai l’habitude
les premiers jours. Allez dans le grand salon, vous y êtes demandé. Une fois
terminé, attendez-moi de la cuisine, en fonction de l’heure nous aviserons. »
Je redescends et me demande qui peut
me quémander. Dans le même temps, il n’existe que deux possibilités :
Monsieur ou Madame.
Ayant descendu les escaliers, je suis
essoufflée. Je prends quelques secondes pour reprendre ma respiration et frappe
à la porte du grand salon.
J’entends la réponse de Madame au
travers de ce qui me semble un gémissement :
« Entrez »
J’ouvre la porte et la referme
derrière moi avant de rester interloquée face au spectacle qui se joue devant
moi. Madame est à moitié assise nue sur un canapé. Monsieur est habillé et est
en train simplement de lui faire un cunnilingus.
J’avoue que je ne savais pas comment
réagir. Une partie de moi avait envie de les laisser entre eux mais une autre
avait envie que je me déshabille et les rejoigne. J’avoue que les seins de
Madame en forme de melon, pointus me donne envie d’y gouter. Elle a un ventre
plat mais que j’ai envie d’embrasser et de lécher. Je ne vois pas sa partie intime
mais je suppose qu’elle est aussi envoûtante que le reste de son corps.
Suis-je normal de vouloir désirer à ce
point une femme ?
Monsieur se tourne vers moi :
« Que diriez-vous de goûter à
Madame pendant que je m'amuse avec vous ?
Pour toute réponse, je reste immobile.
Dois-je obéir ou dois-je fuir ? Je crois que cette question, je me la
poserais à chaque fois qu’ils voudront jouer avec moi.
« Allez, rejoignez-nous. Ne
soyez pas timide. »
Il se relève, vient à moi, me prend
la main et m’agenouille. Il faut dire que je n’éprouve aucune résistance. Avec
sa main, il positionne ma tête au niveau de la chatte de Madame. J’avoue que j’hésite
car j’ai vraiment peur de mal faire. Mais je me laisse aller. J’y glisse timidement
ma langue. Madame gémit instantanément.
Devant tant de plaisir, je me laisse
aller, je lâche prise et je laisse ma bouche et ma langue bouger, décider du
rythme, avaler la cyprine. Quand je sens qu’elle s’assèche, je glisse un doigt
ou deux afin que Madame crie son plaisir.
J’avoue que je suis fière de l’entendre
ainsi. Mais j’avoue qu’elle réveille mon envie, qu’elle réveille mon plaisir,
que ma chatte s’humidifie de nouveau. Instinctivement, je me suis mise à quatre
pattes même si mes mains sont sur le corps de Madame. Monsieur, relève ma robe,
pose ses mains sur mes fesses et les caresse :
« J'adore les fesses bien
rondes. Depuis que je vous ai vu, je meurs d'envie de vous posséder. »
Cette phrase a juste pour effet de
m'exciter encore plus. Il glisse un doigt dans ma chatte et s’extasie de la
voir aussi trempée. J’ai envie qu’il me prenne, j’ai envie de sentir son sexe
en moi pendant que je donne jouissance sur jouissance à sa femme.
Mais au lieu de sentir un sexe, je
sens deux doigts et une langue. Bien que ma bouche se soit emparée de l’intimité
de Madame, mes gémissements se font entendre. C’est Monsieur qui rythme le mien
que j’impose ensuite à Madame. Il s’arrête juste pour dire :
« Je confirme. vous êtes exquise. »
J'entends alors un bruit de
fermeture éclair, des vêtements qui glissent à terre et un sexe qui me pénètre
violemment, brutalement sauvagement. Je crie de surprise mais cela devient vite
des gémissements.
Je réalise alors le tableau que nous
devions former. Madame nue sur le canapé, moi, la bouche dans son intimité,
semi à quatre pattes avec Monsieur qui me défonce littéralement ma chatte.
L’ensemble m’excite, me fait jouir,
me donne du plaisir. Je sais que je suis accroc à lui. Je sais toujours quand
il commence mais ne souhaite jamais qu’il ne s’arrête.
Monsieur continue de donner de coups
de reins. Mes coups de langues suivent le rythme. Et nous nous sommes retrouvées,
Madame et moi, à gémir simultanément. Doucement puis de plus en plus fort.
J'ignore laquelle de nous deux crie le plus fort.
« Oh quelle est bonne cette
chatte. Je sens que je vais beaucoup vous baiser, mademoiselle. Lâchez-vous ! »
J’obéis. S’il y avait une once de
moi qui avait encore le contrôle de mon corps, elle vient de le perdre. Je perds
alors le fil de ce qui se passe. Je subis et fais subir pour le plus grand
plaisir de tous. C’est un délice et j’en veux encore et toujours.
Mais je sens dans ma bouche que
Madame coule. N’ayant pas l’habitude, j’avale ce que je peux mais j’avoue que j’en
ai un peu sur mon visage et qu’il y en a un peu sur le corps de Madame.
Le goût est différent du sperme mais
tout aussi délicieux. J’ai envie de recommencer mais je sens bien que cela ne
sera pas tout de suite. Je m’aperçois qu’elle nous regarde : son mari en train
de me défoncer et moi dont mon visage est déformé par le plaisir subi.
Monsieur continue, je perds mon
souffle, je ne respire plus, je sais que la chaleur va arriver. Tous les signes
sont là : un orgasme. Que j’aime le ressentir. Monsieur continue quelques
secondes avant qu’il ne se retire.
Avec Monsieur nous nous redressons
et il tend à sa femme et moi des mouchoirs pour que nous puissions nous
essuyer. Nous nous rhabillons chacun de manière correcte et m’aperçois que Madame
ne met aucun sous-vêtement sous sa robe.
Monsieur me demande alors :
« N'avez-vous aucune MST ?
Prenez-vous la pilule ?
- J'ai toujours été prudente et je
prends effectivement la pilule.
- Ne vous méprenez pas mais c'est un
sujet important. Demain, le médecin viendra vous voir et vous fera une prise de
sang.
- Bien Monsieur.
- Sachez que vous pouvez être fière
de vous car rares sont les femmes qui arrivent à faire éjaculer ma femme. Vous
n’imaginez pas le plaisir que nous avons pris. Merci à vous et allez rejoindre
Anna. »
Je sors mais j’ai du mal à marcher avec
l’euphorie qui accompagne toujours mes orgasmes.
Je retourne à la cuisine et Madame
Michelle me demande de retrouver Anna dans les chambres des domestiques. Elle
est en train de changer les draps à l’étage au-dessus du mien.
Je cours la rejoindre et lorsque je
rentre, je suis surprise de son ton et de sa phrase :
« Alors, tu es leur nouveau
jouet ?
- Tu es au courant ?
- Tu es loin d’être la première et
dans une demeure telle que celle-ci, il est bien difficile de cacher les
choses.
- C’est pour cela que tu as changé d’attitude
envers moi ? Toi aussi, tu l’es ?
- Ils ont voulu mais j'ai refusé. Je
pensais qu'ils me vireraient mais ils ont accepté mon refus et m’ont gardé dans
leur équipe. Ils sont respectueux et gentils. Ils connaissent la signification
d'un non. Mais c’est vrai que j’ai du mal à comprendre les filles comme toi qui
acceptent sans vergogne ce genre de choses.
- J’adore le sexe et je me fiche de
la personne avec qui je le fais tant qu’elle me procure du plaisir. Mais qu’entends-tu
par « Ils connaissent la signification d’un non » ?
Anna se détend et je retrouve celle
du matin avant l’épisode du bureau. Elle s’approche de moi pour me chuchoter :
- Ils ont des amis comme eux et
malheureusement d'autres le sont moins.
- Ah bon ?
- Mais il vaut mieux ne rien dire.
Sache juste qu'il est préférable de ne jouer avec aucun de leurs amis. Mais du
coup, Monsieur et Madame te donnent du plaisir ?
- Je ne l’ai fait qu’une fois avec
une femme avec l’envie de recommencer. Et je dois admettre que oui, je prends
du plaisir avec les deux.
- Toi, tu vas rester un moment.
- Comment cela ?
- Je te le dirais après. Finissons
et après je t'emmène au village. Nous pourrons parler. »
Je l’ai aidé le restant de l’après
midi et nous nous sommes mises à bavarder de tout et de rien. Dès que le sujet
s’approchait de la demeure ou de Monsieur ou de Madame, elle en changeait. Je
ne voulais pas perdre son amitié alors je fais mine de ne pas m'en apercevoir.
Une fois nos corvées terminées, je
me précipite dans ma chambre pour m’habiller civilement. J’avoue qu’après deux
jours sans sous-vêtements et avec uniforme, cela me fait tout drôle d’en
remettre et de me revoir avec mes habits.
Un groupe de domestique m’attend en
bas et nous montons tous en voiture. Anna conduit l’une d’elles et me promet de
me ramener à l’heure du repas. Je me laisse à boire deux ou trois pintes de
bière mais le moment n’est pas propice aux révélations que j’attendais.
Ce serait pour une autre fois. Comme
promis, à l’heure du dîner, elle me ramène jusque devant la porte principale. Je
n’oublie pas les consignes et contourne la demeure pour rentrer par la porte
discrète et rejoindre la cuisine. Comme la veille, une bonne humeur est
présente. Ils ont tous commencé à me taquiner pour savoir où j’étais passée. J’ai
joué leur jeu. Mais je t’avoue qu’après le repas, je n’avais qu’une envie, qu’une
hâte, venir tout te raconter.
Je crois que cela m’aide à réaliser
que tout ce qui s’est produit a été réel et n’est pas issu de mon imagination.
Mais seulement voilà, entre la
fellation sous le bureau et le triolisme, j’ai la chatte en feu. Alors promis,
dès que je lève mon stylo, je sors un gode et me procure un plaisir solitaire.
Je suis sûre que tu es en train de m’imaginer,
nue, sur le lit, jambes écartées, une main qui joue avec le gode et l’autre qui
joue avec mes seins. Ou alors, tu m’imagines mettre le gode droit, moi assise
dessus, mes mains caressant mes seins en suivant le rythme.
Oh la la, bon, je vais te laisser et
si tu es sage peut-être que je te dirais comment je me suis comblée seule.
Je te dis à
demain, cher journal
Note aux lecteurs : n'hésitez pas à donner votre avis, de faire une critique constructive et pourquoi pas le partager sur les réseaux sociaux. Un grand merci à tous ceux qui le feront.
Magnifique. J'adore tes récits. Est véridiques ? Tes maîtres te l'autorise? Merci de ces partages amitiés
RépondreSupprimeroui, j'espere vraiment que c'est une histoire vraie, votre vraie vie.
RépondreSupprimerMagnifique j adore
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